Dehors, tout est blanc, tout est figé par le temps.
Pas celui qui passe, celui qui glace.
Celui qui vous saisit, qui vous transit.
Dehors, tout est blanc.
Seules les lumières des villages et des maisons se devinent et troublent ce paysage immaculé.
Petits points de lumière, petits points de vie.
Que s’y passe-t-il ? Nul ne sait. Peu importe.
La vie se poursuit, au loin, là-bas. Ici, tout près, la vie s’est figée.
Dehors, tout est blanc, tout est figé par le temps.
Beau texte, de circonstance ici aussi, enfin!
Merci Math 🙂 Les paysages givrés de ce début d’année, dans le Nord, sont le point de départ de ce texte. Ca ressemblait quasiment à la photo.